Le chef de l'opposition sud-coréenne a appelé dimanche la Cour constitutionnelle à sceller rapidement le sort du président déchu Yoon Suk Yeol, afin que le pays puisse se remettre du "trouble national" et de la "situation absurde" créés par l'imposition surprise de la loi martiale le 3 décembre.
La Cour constitutionnelle a six mois pour valider ou non la destitution de M. Yoon, votée samedi par le Parlement.
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